Les Lectrices Diva Romance ont posé leurs questions à Jude Deveraux sur le 1er tome de la série True Love qui s’intitule Mariage à Nantucket. Découvrez ses réponses et apprenez en un peu plus sur le roman et son auteure !
D’ordinaire, plongée dans la romance historique, quelles difficultés avez-vous pu ressentir à l’écriture de ce roman ?
Écrire sur Nantucket et non sur un lieu inventé n’était pas facile. Je devais faire très attention à ce que j’écrivais ou un historien local me disait que c’était faux. D’un autre côté, je pouvais utiliser des photos de la ville plutôt que de passer des semaines à chercher les maisons et les routes dont j’avais besoin.
Pourquoi le choix de cette île particulièrement ?
Je vivais sur Nantucket à l’époque et j’étais fascinée par l’histoire de l’endroit. En hiver, il n’y avait que 2 000 personnes sur l’île, alors qu’en été il y en avait 60 000. La différence entre les visiteurs et les gens qui y vivaient m’avait intrigué et je voulais écrire à ce sujet.
Le fait de mettre sur un pied d’égalité professionnel nos héros était-il voulu ?
Oui ! Nantucket a beaucoup de femmes qui ont un statut très élevé dans leur profession. Je ne pouvais pas présenter une femme qui n’avait pas d’ambition et qui n’était pas experte dans sa carrière.
Croyez-vous aux fantômes ou plutôt en la réincarnation ? Pensez-vous que nos âmes sœurs nous suivent de vie en vie ?
J’adore les histoires tout simplement. Je n’ai jamais pensé à la croyance ou non, mais juste à quelque chose qui me donne une super histoire. Cela dit, j’ai eu de nombreuses rencontres fantomatiques dans ma vie. Peut-être que je suis bizarre, mais ils ne m’ont jamais effrayé. Pauvres chéris. J’ai eu quelques fantômes dans ma maison en Angleterre (construite en 1709). L’un d’eux, Tom, nous faisait des blagues le jour du poisson d’avril. Un jour, j’avais une équipe d’électriciens et ils ne pouvaient pas allumer les lumières extérieures. J’ai dit : “Hier c’était le poisson d’avril, donc c’est juste Tom. Il les éteindra à 16 heures.” Ils m’ont regardé comme si j’étais folle. À exactement quatre heures, les lumières se sont éteintes. Dans la minute suivante, les électriciens ont couru vers la porte et sont partis si vite que le gravier a volé dans les airs. Mes autres ouvriers et moi avons beaucoup ri. Nous avions traité avec Tom pendant des années !
Merci à Jude Deveraux pour avoir pris le temps de répondre aux questions des Lectrices Diva Romance !